Les éléments qui font varier le prix de la rénovation
Le premier facteur du coût global de la rénovation est la surface à traiter : grosso modo le prix est directement proportionnel au nombre de m² !
Le ponçage coûte par exemple, lorsqu’on fait appel à un professionnel, entre 15 et 20 euros par m² pour un bois “facile” comme le hêtre ou l’acacia mais peut atteindre jusqu’à 35 euros par m² pour du chêne massif - ces prix s’entendent bien entendu TTC. La pose vitrificateur se traduit quant à elle par un coût de vingt ou vingt-cinq euros par mètre carré. Et s’il faut en passer par la pose nouveau parquet, la fourchette de prix peut s’étager de soixante à trois cents euros par mètre carré, en fonction notamment du type de parquet et des matériaux.
Les types de parquets à rénover
Il n’existe pas de normes officielles, mais on peut aisément définir les principaux types de parquet:
- le parquet massif est le type le plus traditionnel, mais aussi le plus onéreux ; correctement entretenu, il peut durer plus d’un siècle comme on peut le voir dans des demeures anciennes ;
- le parquet contrecollé ou flottant est constitué de trois couches superposées ; il a l’avantage, très appréciable en immeuble, de ne pas être bruyant ;
- le parquet stratifié est un “faux parquet”, imitant le bois par un décor reposant sur une couche d’aggloméré ; il est particulièrement économique mais moins durable ;
- le parquet vitrifié est simplement un parquet classique (un parquet massif ou bien un parquet contrecollé) qui est recouvert d’un vernis spécial.